LE RAD relais d’accès au Droit

Relais d’accès au Droit GRATUIT, sans rendez-vous (RAD)

ANALYSER – PREVENIR – RENSEIGNER – INFORMER – ORIENTER

Un lieu d’accueil pour tous les justiciables au sein du Tribunal de Grande Instance de Mâcon : le mardi de 10 à 12 heures.

Pour plus d’informations, se renseigner à l’accueil du Tribunal de Grande Instance.

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La CAMVAL

Créée le 4 novembre 2004, la Communauté d’Agglomération du Mâconnais-Val de Sâone comptait 23 communes adhérentes : Berzé-la-Ville, Bussières, Charbonnières, Charnay-lès-Mâcon, Chevagny-les-Chevrières, Davayé, Fuissé, Hurigny, Igé, La Roche Vineuse, La Salle, Laizé, Mâcon, Milly Lamartine, Prissé, Saint-Laurent-sur-Sône, Saint-Martin-Belle-Roche, Sancé, Senozan, Sologny, Solutré Pouilly, Vergisson et Verzé.

Mais c’est au 1er janvier 2005 que la CAMVAL devient officiellement opérationnelle. Trois nouvelles communes adhérent alors au périmètre : Azé, Péronne et St Maurice-de-Satonnay.

A ce jour, l’Agglomération Mâconnaise constitue un cadre de vie très apprécié : paysages de vignes, de villages pittoresques et de sites touristiques remarquables issus dans les 26 communes membres.

Sous la présidence de Claude Patard et grâce aux compétences attribuées à la collectivité, la CAMVAL intervient dans de nombreux domaines tels que la culture, la petite enfance, le développement économique, les déplacements doux ou encore l’habitat pour améliorer le quotidien de près de 65 000 habitants qui composent le territoire.

http://www.camval.com/

Musée de la préhistoire

Le musée de la préhistoire change son décor !

la scénographie a été intégralement repensée et modernisée pour vous offrir un tout nouveau parcours de visite.

Venez découvrir de nouvelles collections.

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Visitez le site : http://www.solutre.com/

Résidence l’Eau Vive

LE HAMEAU DE L’EAU VIVE

Résidence pour personnes âgées, le hameau de l’Eau Vive vous assure tranquillité, sécurité, confort et indépendance dans un environnement de qualité.

Retrouvez ci-dessous le tarif des prestations.

Contact : résidence du Hameau de l’Eau Vive

629 Route du Hameau de l’Eau Vive

71960 LA ROCHE VINEUSE

Tél : 03.85.36.63.40

mail : eauvive@orange.fr

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Dispersion de cendres

QUELQUES INFORMATIONS SUR LA DISPERSION ET LE DEVENIR DES CENDRES CINÉRAIRES

Qu’il n’est plus possible de conserver une urne à domicile.

La personne qui a qualité pour pourvoir aux funérailles (pas forcément un membre de la famille) doit exprimer les volontés du défunt quand à la destination des cendres. Dans l’attente d’une décision, seul le crématorium, un édifice cultuel (avec l’accord des responsables) ou le cimetière sont habilité à conserver l’urne dans un délais maximum d’un an. A ce terme les cendres sont dispersée dans un jardin du souvenir (crématorium ou cimetière de la commune de dépôt)

A la demande de la personne ayant qualité pour pourvoir aux funérailles, les cendres sont en leur totalité : (ce qui implique qu’elles ne peuvent plus être scindées en deux urnes ou plus)

 Soit conservées dans une urne cinéraire, qui peut-être inhumée dans une sépulture ou déposée dans une case de columbarium ou scellées sur un monument funéraire à l’intérieur d’un cimetière ou d’un site cinéraire
_

 Soit dispersées dans un espace aménagé à cet effet d’un cimetière ou d’un site cinéraire

 Soit dispersées en pleine nature, sauf sur la voie publiques. »

En cas de dispersion en pleine nature la personne qui a qualité pour pourvoir aux funérailles en fait la déclaration à la Mairie de la commune du lieu de naissance du défunt. L’identité du défunt ainsi que la date et le lieu de dispersion de ses cendres sont inscrits sur un registre crée à cet effet.

Ce qui implique : la dispersion a un caractère perpétuel. Il faut donc qu’un libre accès au lieu de dispersion soit laissé à la famille afin qu’elle puisse venir se recueillir et rendre hommage au défunt. Ce même si la propriété est vendue, ce qui impose une contrainte incontournable au « futur » propriétaire !

Pour l’inhumation d’une urne dans une propriété privée , il faut l’autorisation du Préfet (comme pour un cercueil) cette inhumation a un caractère perpétuel. Même contrainte en cas de vente de la propriété.

Aucune disposition législative ou réglementaire n’interdit la dispersion des cendres d’un défunt par vois aérienne, à condition que cette dispersion intervienne en surplomb d’espaces naturels dépourvus de voies publiques

Il est interdit :

 de scinder les cendres,

 de les réunir avec d’autre cendres de défunts,

 de les disperser dans un jardin privé et enfin le plus important de les garder à domicile ! Il est laissé un temps de réflexion à celui à qui l’on a remis l’urne pour prendre cette décision. Le temps n’est pas défini, le plus couramment accepté est un délai d’une année.

Infos

QU’EST CE QU’UNE CONCESSION FUNERAIRE ?

Une concession funéraire, c’est l’achat d’un terrain nu afin d’y installer une sépulture (tombe, caveau, stèle, cavurne).

Il est possible d’acheter une concession de son vivant :
• pour choisir le lieu de son inhumation ;
• pour soulager sa famille du coût de réservation d’un emplacement dans un cimetière. La durée de la concession court à partir de la date d’acquisition et non de décès. La durée de la concession varie de 15 ans à 50 ans.
FORMALITES
LA CONCESSION FUNERAIRE EST ACHETEE EN MAIRIE.

QUI PEUT ACHETER UNE CONCESSION AU CIMETIERE DE SOLUTRE-POUILLY ?

Les conditions d’acquisition sont fixées ainsi : Pour avoir le droit d’acquérir une concession, il faut être domicilié dans la commune, ou que certains membres de la famille y soient inhumés. Une fois la concession acquise, le concessionnaire reçoit un titre de propriété.

Par délibération du 23 août 1995, la municipalité a décidé que les non-résidents ne peuvent pas obtenir de concession sans avoir l’avis favorable du Maire ou du Responsable de la Commission “Cimetière”. Dans tous les cas, cette concession ne sera que de 15 années renouvelable.

RENOUVELLEMENT D’UNE CONCESSION FUNERAIRE

C’est au concessionnaire de contacter en temps et en heure la mairie pour le renouvellement. En effet, lorsque la concession arrive en fin de validité (sauf concession perpétuelle), le concessionnaire a 24 mois pour la renouveler, sinon la commune en redevient propriétaire.

POUR TOUT SAVOIR SUR LA REPRISE DES CONCESSIONS FUNERAIRES ECHUES OU ABANDONNEES…_
Que se passe-t-il lorsqu’une concession à durée limitée arrive à échéance ?

Lorsqu’une concession funéraire à durée limitée arrive à expiration (15, 30, 50 ou 100 ans pour les dernières encore existantes dans le cimetière de Solutré), le concessionnaire ou ses héritiers disposent de deux ans pour renouveler la concession, pour une durée égale ou inférieure ou supérieure. Les héritiers ne pourront renouveler que s’ils prouvent leurs droits sur la tombe (il convient de transmettre à la Mairie les documents nécessaires).
A défaut, la reprise est annoncée à l’avance par arrêté du Maire et affichée sur le panneau extérieur de la Mairie et du Cimetière. Il appartient aux familles de se renseigner sur la date d’échéance de leur sépulture à durée limitée et de prendre contact avec la Mairie pour la renouveler.

Que faire s’il n’existe plus personne pour renouveler une concession à durée limitée et que vous ne voulez pas la voir disparaître ?_
Il arrive parfois qu’un ami du défunt veuille renouveler la concession expirée, soit parce qu’il n’existe plus de famille, soit parce que la famille du défunt ne veut pas s’occuper de la tombe.

En principe, seul le concessionnaire ou ses héritiers peuvent renouveler une concession funéraire.

Les concessions perpétuelles existent elles toujours ?
Le Code Général des Collectivités Locales fixe différentes durées possibles des concessions funéraires : de 5 à 15 ans, 30 ans, 50 ans ou perpétuelles (les concessions centenaires, créées par une loi de 1924, ont été supprimées par une ordonnance de 1959). Les communes décident ensuite des durées qu’elles offriront aux administrés dans leurs cimetières. Beaucoup ont choisi de ne plus offrir de concessions perpétuelles.

Une concession perpétuelle peut-elle être reprise ?

Non, si elle est toujours entretenue par ses propriétaires.

Oui, lorsque la sépulture est à l’état d’abandon ou lorsqu’elle est susceptible de mettre en péril la sécurité des personnes ou des concessions avoisinantes. Dans ce cas, une procédure juridique de reprise, qui dure près de quatre ans, est engagée au cours de laquelle la Mairie tente d’obtenir, du concessionnaire ou des éventuels ayants droit, une remise en état de la sépulture. A défaut, la sépulture redevient propriété de la commune et l’emplacement est repris. Après démolition du monument et exhumation des corps, la place libérée peut être réattribuée à un autre concessionnaire. C’est par le biais des reprises de concessions perpétuelles et à durée limitée que l’on dispose de la place nécessaire pour inhumer les défunts.

Que deviennent les corps des défunts après reprise d’une concession funéraire ?

C’est le Code Général des Collectivités Territoriales qui fixe leur devenir.
L’article L. 2223-4 indique en effet : « un arrêté du maire affecte à perpétuité dans le cimetière où se trouvent les concessions reprises, un ossuaire convenablement aménagé où les restes des personnes qui étaient inhumées dans les concessions reprises sont aussitôt ré-inhumés.

Peut-on revendre une concession funéraire ?

Non, plusieurs décisions de justice ont placé les concessions funéraires « hors commerce ». On peut seulement transmettre une sépulture par voie de succession attestée par acte notarié ou par voie de donation, dans ce dernier cas dans des conditions limitées.

En effet, en matière de donation, des décisions de justice ont limité les possibilités car elles interdisent qu’une concession funéraire, qui contient ou a contenu des défunts, fasse l’objet d’une donation qu’à une personne étrangère à la famille du concessionnaire.

Enfin, sous certaines conditions, le concessionnaire (mais pas ses héritiers) peut « rétrocéder » sa concession à la commune et, parfois, peut se faire rembourser une partie du prix d’achat. La concession doit obligatoirement être libre de corps et de monument.

LES DIFFERENTS TYPES DE CONCESSIONS FUNERAIRES

Quand vous demandez une concession vous devez en préciser la durée…

Quelle est la durée d’une concession funéraire?

La loi fixe les différentes durées des concessions funéraires : de 5 à 15 ans, 30 ans, 50 ans ou perpétuelles (les centenaires ont été supprimées en 1959). Les communes décident ensuite des durées qu’elles offriront aux administrés dans leurs cimetières. Faute de place et/ou compte tenu des problèmes générés par ce type de concessions, beaucoup de communes ont choisi de ne plus offrir de concessions perpétuelles.
La commune de SOLUTRE-POUILLY offre des concessions de 15 ans, 30 ans et 50 ans qui peuvent être acquises soit « sur décès » ou être achetées « par avance ».

DROITS ET DEVOIRS DES TITULAIRES DES CONCESSIONS

Les concessionnaires ont des droits et des obligations…

Quelles sont les obligations du concessionnaire ?

Le contrat de concession funéraire est un contrat administratif d’occupation du domaine public? entre la commune et l’acheteur. La sépulture qui est installée sur ce terrain concédé, est, elle, une propriété privée. Comme pour n’importe quel autre bien immobilier, son propriétaire en a le droit d’usage, mais il a aussi en contrepartie des obligations précises à respecter. Les héritiers de la sépulture héritent du droit d’usage mais également des obligations pesant sur la tombe.
Parmi ces obligations, voici les plus importantes :

 après acquisition de sa concession funéraire, le concessionnaire dispose d’un délai de trois mois pour faire construire et fermer son caveau par une dalle homologuée ou, dans le cas d’une concession de pleine terre, pour faire poser un cadre qui délimitera l’emplacement et éventuellement supportera un monument.

 par la suite, le concessionnaire (ou ses héritiers) est (sont) tenu(s) d’assurer un entretien normal de la concession. Celui-ci consiste à nettoyer régulièrement la sépulture, au moins une fois par an, pour que son aspect ne porte pas atteinte à l’ordre et la décence du cimetière. Il convient également de veiller à ce qu’elle ne soit pas dangereuse (monument affaissé, entourage métallique coupant, semelle risquant de faire chuter les passants…). En effet, si la tombe venait à causer un accident à une personne ou endommager un autre monument du fait de son défaut ou de son mauvais entretien, le propriétaire de la concession funéraire devrait répondre des dégâts devant la Justice.

 le concessionnaire ou ses héritiers ont pour obligation de faire connaître leurs adresses successives au cimetière. Cette obligation permet par exemple à la Mairie de prévenir le concessionnaire si sa sépulture a été dégradée, ou de le prévenir de l’état d’abandon et du risque de reprise de la sépulture. Il est important de savoir que la commune n’a pas obligation de rechercher l’adresse du propriétaire d’une tombe qui aurait déménagé sans en informer le cimetière, ni de rechercher les héritiers de la tombe qui ne se seraient pas faits connaître.

 les héritiers du propriétaire d’une concession funéraire ont pour obligation de se faire connaître auprès de la Mairie et de présenter la preuve de leur succession. A défaut, ils ne pourront utiliser la sépulture. En outre, d’un point de vue pratique, il est toujours difficile lors d’un décès d’être obligé de se rendre en urgence dans les administrations et les offices notariaux pour réunir les pièces nécessaires afin de prouver ses droits sur une tombe. Il est donc vivement conseillé aux héritiers de faire le nécessaire par avance au moment du règlement de la succession d’un défunt.

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Lorsqu’une concession funéraire à durée limitée arrive à expiration (15, 30, 50 ou 100 ans pour les dernières encore existantes dans le cimetière de Solutré), le concessionnaire ou ses héritiers disposent de deux ans pour renouveler la concession, pour une durée égale ou inférieure ou supérieure.

Vie religieuse

La commune de Soutré-Pouilly dépend de la paroisse “Saint-Vincent en Val Lamartinien”.

Solutré-Pouilly, l’église.

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Coordonnéees de la paroisse :
route de Mâcon – 71960 LA ROCHE-VINEUSE

Tél. Père Nicolas GOURY : 03 85 38 60 70

Messagerie : nicogoury@club-internet.fr

Permanences d’acceuil (Edith PROST) : 03 85 37 65 17, le mardi, mercredi et vendredi de 15H00 à 18H00 à la maison paroissiale (première maison à l’entrée du bourg de la ROCHE-VINEUSE

Messagerie : paroisse.saintvincent@gmail.com

Sites naturels et panoramas

Des sites à protéger

Remarquable dès son approche grâce à sa composition paysagère insolite en Bourgogne, le grand site Solutré, Pouilly, Vergisson est un site archéologique majeur d’intérêt national marqué par la préhistoire et des espaces naturels remarquables. Dominé par la célèbre roche de Solutré, véritable éperon rocheux au milieu d’un vignoble aux crus réputés, sa petite superficie de 2.000 hectare n’enlève rien au caractère unique et exceptionnel de cet endroit fréquenté par l’homme depuis plus de 57.000 ans.

L’opération “grand site” a pour ambition de restaurer le site, d’améliorer l’accueil des visiteurs et de permettre des retombées économiques pour le territoire.

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Cette démarche s’inscrit dans une politique de gestion durable, dont l’enjeu est de concilier protection des milieux et développement économique.

Un programme de 36 actions spécifiques, établi sur 10 ans, sera financé par l’Etat, la Région Bourgogne, le Département de Saône et Loire, le Communauté d’Agglomération du Mâconnais Val de Saône et les communes concernées à hauteur de 7 millions d’euros, avec pour objectif l’obtention du label Grand Site de France, décerné par l’Etat, couronnement d’une gestion durable de qualité.

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Recommandations :

sur le site, utilisez les chemins balisés ; la cueillette est interdite ; le ramassage de pierres est interdit ; ne laissez pas vos déchets, ne faites pas de feux.

Pour plus d’informations, vous pouvez contacter :

  • l’office du tourisme de Mâcon : 03 85 21 07 07
  • le val lamartinien : 03 85 35 77 15
  • la gare de Charnay Condemine : 03 85 20 53 90

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La Roche de Solutré

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La Grange du Bois

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Patrimoine local

Le cru Pouilly-Fuissé

L’appellation “Pouilly-Fuissé” est née en 1936. Issue du cépage du Chardonnay, c’est aussi un vin blanc sec et fruité. Grand vin de Bourgogne, de couleur or, vin de garde, cela fera 50 ans cette année que le syndicat d’appellation a inauguré le premier caveau de dégustation sur la place du village, à l’initiative de M. LANEYRIE et du maire du village, M. SEVE, et de la participation des vignerons de l’appellation Pouilly-Fuissé. A découvrir aussi chez les vignerons (domaines) sans oublier l’Atrium (vitrine des Pouilly-Fuissé) où toute l’aire de l’appellation est représentée.

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Les villages de Chaintré, Fuissé, Solutré-Pouilly et Vergisson constituent l’aire de production exclusive de l’appellation d’origine contrôlée Pouilly-Fuissé. Sur ces terroirs argilo-calcaires, le Chardonnay, unique cépage du vignoble Pouilly-Fuissé, donne naissance à des vins riches et variés à la typicité bien affirmée.

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Sites utiles

Le Syndicat du Cru Pouilly Fuissé
L’ATRIUM
Union des Producteurs de Pouilly-Fuissé
Le bourg
71960 Solutré-Pouilly
Tel : 03 85 35 83 83
contact@pouilly-fuisse.net
www.pouilly-fuisse.net

Union des Producteurs du Cru Saint Véran
En Personnets
71 960 Davayé
Tél. : 03 85 35 85 07
infos@saint-veran-bourgogne.com
www.saint-veran-bourgogne.com

Union des producteurs de Vins “Mâcon”
520 avenue Maréchal de Lattre De Tassigny
71000 Mâcon
Président: Jean-Michel AUBINEL
Tél. : 03 85 38 20 86 – Fax: 03 85 38 39 62
upvm@free.fr

Le Bureau Interprofessionnel des vins de Bourgogne
520, avenue de Lattre-de-Tassigny
71 000 Mâcon
Tél : 03 85 22 91 30
bivb@bivb.com
www.vins-bourgogne.fr

EPLEFPA de Mâcon Davayé
Lycée viticole Les Poncetys
71 960 DAVAYE
Tél. : 03 85 33 56 00
Fax : 03 85 35 86 91
expl.davay@educagri.fr
www.macon-davaye.com

> En savoir + (Document Pdf)

Oenothèque Georges Burrier
Le Plan
71 960 Fuissé
Tél. : 03 85 32 90 48
Fax : 03 85 35 66 04
enotheque.gburrier@orange.fr
www.joseph-burrier.com

Les fromages de chèvre

Les fromages 100 % pur chèvre sur divers lieux de production et en particulier à la Grange du Bois

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Sites utiles

La maison du Grand Site
www.solutre.com

L’office du tourisme
www.visitezlemaconnais.com
macontourisme.com

La route des vins mâconnais beaujolais
6 rue Dufour
71000 MACON
Tél. 03 85 38 09 99 (du mardi au vendredi)
routedesvinsmaconnaisbeaujolais@business.fr

Histoire et monuments

Solutré doit son nom à Solustriaeus, riche gallo-romain, propriétaire d’une “villa” à l’emplacement du village actuel.

Le village est dominé par la Roche, site préhistorique qui fut le théâtre de grandes chasses (de 20.000 à 16.000 avant J. C.) : chevaux, rennes, bisons, ours. Au pied de la roche, un musée évoque cette période avec la fameuse taille de pierre en “feuille de laurier”.

A l’époque des grandes invasions, la roche devint un site défensif, naturel d’abord, puis renforcé en fortifications. Une forteresse attribuée à Raoul, duc de Bourgogne, roi de France en 923, devint l’enjeu de luttes très vives, en particulier entre Armagnacs et Bourguignons, et fut détruite sur l’ordre de Philippe le Bon en 1434.

Dans le bourg, l’église, construite au 10ème siècle sur des terres appartenant à l’abbaye de Cluny, fut reconstruite en partie au 12ème siècle, agrandie et restaurée au 19ème siècle par l’abbé Ducrost, curé de la paroisse et préhistorien, puis plus récemment (charpente, extérieur, clocher datant de 1999).

De belles maisons vigneronnes, des lavoirs, de nombreux puits à étages attestent d’une vie communautaire.

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Des hameaux encadrent le village :

  • La Grange du Bois, avec son ancien prieuré, fondé au 12ème siècle sous le vocable de Saint-Fiacre, rattaché à Cluny au 13ème siècle, vendu comme bien national en 1791. Ancien lieu de foires et de pèlerinages jusqu’en 1920 où le culte de la “fontaine aux ladres” (guérison des maladies de peau) l’associait aux dévotions à Saint-Fiacre.

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Marcheurs, habitués des chemins de la Grange du Bois, plus aucune tuile du clocher ne risque de vous fendre le crâne par grand vent ! Depuis le 19 septembre, date d’achèvement des travaux, elles sont toutes bien accrochées. Restaurer, sans que cela ne se voit trop, à plus de vingt mètres du sol par tous temps et pendant plusieurs semaines, représente un défi certain, relevé par la famille DUPONT. Avec son “chapeau neuf”, il est beau ce clocher. Bien plus jeune que la chapelle, il a tout de même environ huit cent ans. Cerise sur le gâteau, la girouette neuve a été exécutée en cuivre par un habile homme ! La précédente était plus trouée qu’une passoire car un petit plaisantin l’avait prise pour cible avec sa “22” toute neuve. Comme pour la chapelle, le service de l’Architecture et du patrimoine de Saône et Loire a assuré conseils et suivi des travaux et le Conseil Général et la Fondation du Patrimoine ont participé à son financement. La Grange du Bois dispose maintenant d’un édifice extérieurement en bon état. Il restera, bien sûr, à restaurer l’intérieur de la chapelle et ses peintures murales (quelques vestiges) du moyen-âge à sauvegarder, mais ceci est une autre histoire.

  • Pouilly, ses châteaux et sa chapelle

Les châteaux

Pouilly est dominé par son château du 15ème siècle, construit par Fançois Touillon, fermier du prieur clunysien de Chevignes, à la direction des vignobles de l’ordre de Cluny. Vers 1620, ce château portant le nom de “Maison de Pays” devient la propriété d’Antoine Pollet, bourgeois de Mâcon et semble rester dans cette famille jusqu’en 1769. Il est acquis en 1782 par un avocat du Parlement et échevin de Mâcon, Louis Montpis, qui s’intitule le Seigneur de Pouilly en 1783. En juillet 1789, une bande de 200 brigands attaque le château et enlève la toiture. Un dénommé Lassara de la Grange du Bois se signale par son ardeur de brigandage. C’est l’épisode de “la Grande Peur” dans les campagnes et particulièrement dans le Mâconnais. Depuis le 19ème siècle, le château appartient à la même famille. La propriétaire actuelle, Madame Canal du Comet, en a entrepris la restauration.

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Un autre château, situé “aux Grands Noeuds”, propriété de Monsieur Maurice COMBIER, a une histoire aussi obscure que le premier. Peut-être antérieur (14 ou 15ème siècle), il a subi de nombreuses transformations : aménagement de pièces à la place de l’entrée, suppression d’escaliers et de bâtiments dans la cour. Propriété de Monsieur de Laye en 1789, il a aussi été maltraité par les brigands durant “la Grande Peur”.

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La chapelle de Pouilly

Dédiée à Notre-Dame des Grâces, elle était un lieu de pèlerinage du 17 au 19ème siècles.

Voici son histoire :

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Pouilly (Poliacium) est cité depuis le 10ème siècle dans les cartulaires de Cluny et depuis le 12ème siècle dans une charte de la cathédrale Saint-Vincent de Mâcon les 2 documents mentionnant des vignes qui sont données ou échangées.
Au 12ème siècle, Pouilly est mentionné dans un jugement. Mâcon et Pouilly y sont déclarés fiefs relevant du Duché de Bourgogne. Pouilly a été de tout temps une annexe de la paroisse de Solutré, possédant une chapelle dédiée à Notre-Dame dont on connaît mal l’origine et la date précise de construction.
Une fondation de 300 livres a été faite pour cette chapelle en 1682, par Dame Philiberte Tastenoire, veuve de Antoine Pollet, Seigneur de Pouilly ; cette fondation comprenait une maison avec pressoir, un jardin, un pré, une vigne. Son clocheton, sur lequel fut placée une horloge, date de 1897, don de Mme Dejoux.
La restauration de la chapelle, entreprise en 1980/1981 par le père Rabut (après enquête et souscription) grâce à l’argent des paroissiens de Solutré et de Pouilly et au travail des vignerons de Pouilly et d’un artisan local, a permis de retrouver et de remettre en état un autel de pierre enfoui sous le carrelage et de dégager une ouverture en plein cintre derrière un retable en bois peint en 1687. La chapelle devait être prête pour la Saint-Vincent le 22 janvier 1982.
Cette chapelle a été un lieu de pèlerinage à partir du 17ème siècle. Notre Dame était censée guérir les migraines et les enfants maladifs ou atteints du « feu volage ». On les y conduisait dans des petites voitures.
Un autre pèlerinage existait déjà à La Grange du Bois, à la fontaine aux Ladres près de la fontaine de Saint-Fiacre. Voulait-on limiter ce pélerinage plus païen ou le placer sous le contrôle plus étroit de l’Eglise ? De toute façon, le pèlerinage à Saint-Fiacre a résisté plus longtemps que celui de Pouilly qui disparut vers 1880.
Jusqu’en 1960, on y a célébré régulièrement la messe le 22 janvier, fête de la Saint-Vincent et le vendredi avant les Rameaux, fête de la compassion de la Sainte-Vierge. Ce jour-là, la messe appelée «messe des fourmis» pour éviter que les fourmis ne se mettent dans le goûter emporté à la vigne « goûtion en patois» était célébre par le Père Rabut. Une autre messe était dite le 14 septembre, pour la fête de Notre-Dame des 7 douleurs.

Autres éléments du patrimoine à Pouilly

Outre ses traditionnelles maisons vigneronnes avec leurs caves voutées, leurs galeries, leurs séchoirs, voisinant avec des maisons plus modernes et plus adaptées à l’exploitation nouvelle, on peut découvrir une maison insolite dont on ignore l’année de construction et l’identité du premier propriétaire. Elle possède un puits coiffé d’une construction décorée de palmiers et d’animaux exotiques. Ceci serait-il lié à l’époque coloniale, à la conquête de l’Egypte ? A ce jour, les archives n’ont pas livré leurs secrets.

Deux croix et deux lavoirs complètent cet inventaire.

  • La Grange Murger, autour d’une demeure avec pigeonniers ayant appartenu aux 17 et 18èmes siècles à la famille Tupinier, gens de robe.

Le domaine des Murgers ou la Grange Murger dont il nous reste plusieurs reprises de fief, a été déclaré bien de roture par deux arrêtés de la Chambre des comptes de Bourgogne des 13 août 1666 et 2 avril 1678. Nous voyons Edme Tupinier, conseiller du roi, le reprendre de fief et donner son dénombrement le 16 février 1697. Son dénombrement indique, comme revenu annuel deux feuillettes de vin, douze coupes d’avoine, dix coupes de froment et trois livres en argent. Emilian, fil de Claude Tupinier et d’Etiennette Desbois, testa le 19 avril 1707, léguant ses biens à son fils, qui mourut le 5 octobre 1709.

Claude Tupinier, conseiller du Roi, juge mage de Cluny, sieur des Murgers, reprit le fief le 4 février 1722. Son dénombrement donné le 2 mai 1729 diffère peu du précédent. Allié, le 18 janvier 1711 à Etiennette Rety, il eut une fille, aussi Etiennette, qui, par son contrat de mariage du 9 janvier 1746 porta les Murgers à Louis Abel de Laborier de Serrières, écuyer, fils de Claude François de Laborier et Françoise de Labletonnière.

Henri, Oswald, Gabriel Tupinier, avocat au Parlement, frère d’Etiennette, racheta le fief pour 3.000 livres, le 10 février 1765 et en reprit le fief le 25 juin 1767 et le 24 mai 1785. Marié à Jeanne Louise Bridet, fille de Philippe Bridet, baron de Myards, seigneur de Burnonceau et de Françoise Dubois, il ne laissa pas de postérité.

Source – le Mâconnais historique – seigneurs et châteaux – 2ème partie – François Perraud chez Protal imprimeur (1920).

  • Le Gros Bois, hameau récent, ne regroupe pas des viticulteurs, mais des gens travaillant à Mâcon ou des retraités.

Autres monuments

La chapelle de la Grange du Bois

L’église

Restauration

Restaurant “La Courtille”
Route de la Roche
71960 SOLUTRE POUILLY

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Hôtel retaurant gastronomique, terrasse, établissement situé à 950m de la Roche de Solutré.
Vous pouvez réserver au numéro suivant : 03 85 35 80 73 ou par messagerie : lacourtilledesolutre@live.fr
site : http://www.lacourtilledesolutre.fr/

  • Maison du Grand Site : boissons (chaudes ou froides), glaces… (ouverture en saison) – Solutré : 03 85 35 82 81
    site : http://www.solutre.com/

  • Salon de thé , route de la Grange du Bois – tél. 03 85 35 85 28

chezkarine

Santé, urgences

Urgences

  • SAMU : 15
  • Pompiers : 18
  • Police : 17
  • gendarmerie des Cordiers : 03 85 22 97 10
  • SPA Serrière : 03 85 20 94 14

Les pompiers

pompiers

Services médicaux

  • médecin Prissé : 03 85 37 83 40
  • Centre hospitalier de Mâcon, boulevard Louis Escande, 71000 MACON, tél. 03 85 20 30 40
  • Polyclinique du Val de Saône, 44 rue Ambroise Paré, 71031 MACON CEDEX, tél. 03 85 23 23 23
  • Centre de vie quotidienne, 309 allée René Cassin, 71000 MACON, tél. 03 85 39 11 10
  • Centre médico-social, 268 rue des Epinoches, 71000 MACON, tél. 03 85 21 65 00

Services publics

Tous services

Urgences

  • SAMU : 15
  • Pompiers : 18
  • Police : 17
  • gendarmerie des Cordiers : 03 85 22 97 10
  • SPA Serrière : 03 85 20 94 14

Services médicaux

  • médecin Prissé : 03 85 37 83 40
  • Centre hospitalier de Mâcon, boulevard Louis Escande, 71000 MACON, tél. 03 85 20 30 40
  • Polyclinique du Val de Saône, 44 rue Ambroise Paré, 71031 MACON CEDEX, tél. 03 85 23 23 23
  • Centre de vie quotidienne, 309 allée René Cassin, 71000 MACON, tél. 03 85 39 11 10
  • Centre médico-social, 268 rue des Epinoches, 71000 MACON, tél. 03 85 21 65 00

Education

A Solutré

  • Ecole maternelle : 03 85 35 88 25
  • Garderie : 03 85 35 80 49
  • Cantine : 03 85 35 81 61

A Davayé

  • Lycée agricole de Davayé : 03 85 35 86 91

A Fuissé

  • Ecole primaire : 03 85 37 80 42

A Charnay-lès-Mâcon

  • SIGALE (Syndicat Intercommunal Gestions Activités Loisirs Enfants) : 03 85 34 66 60

Services à domicile

  • ADMR (cf. page spéciale dans “autres services”)

Résidence personnes agées
L’eau Vive
hameau de l’Eau Vive
71960 La Roche-Vineuse
Tél. 03 85 36 63 40
(site : www.booking.com/HotelDeLeauVive)

Transports

  • gare routière SNCF Mâcon ville, 1 avenue de la Gare, tél. 08 92 35 35 35
  • TGV Mâcon Loché, 142 rue Pouilly Loché, 71000 LOCHE, tél. (tarif spécial) 36 35
  • transports Tréma fil Solutré / Mâcon (réservation nécessaire) : 08 00 35 00 34

    Fiche horaire Tréma fil : (Vergisson – Davayé – Fuissé – Solutré-Pouilly – Mâcon – aller / retour)

    http://www.trema-bus.fr/fiches_horaires/TremA-12.1119-FH208.pdf

La poste

  • agence postale communale de Davayé (en mairie) – heure d’ouvertures de 8H30 à 12H00 – fermé les lundi et vendredi) : 03 85 37 86 55
  • la poste Prissé : 03 85 37 63 50
  • agence postale communale de Fuissé (en mairie) : 03 85 35 61 49

Services assistance technique

  • EDF (dépannage) : 08 10 33 31 71
  • GDF (gaz) : 08 10 43 30 71
  • SDEI (urgence) : 08 10 826 826
  • Téléphone : selon votre opérateur

Déchetteries (cf. précisions dans “autres services”)

  • Mâcon (chemin de la Grisière)
  • Charnay-les-Mâcon (chemin des Allogneraies)
  • La Roche Vineuse (route de la Bussière)
  • Romanèche-Thorins (les Brasses)
  • Saint-Martin Belle Roche (lieu-dit les Chagnaux)
    Collecte des encombrants (2 fois par an) : prévenir le SICTOM (numéro vert) au 0 800 100 544 – dates de collecte 2012 : les 20 janvier et 21 septembre – sortir vos encombrants devant chez vous la veille au soir.

Mairie de Mâcon : 03 85 27 01 28

Itinéraire

Naviguez sur la carte affichée ci-dessous afin de localiser la commune et de prendre connaissance de l’itinéraire à emprunter depuis votre point de départ.

http://www.carte-france.info/ville-71960-solutre-pouilly/